La culpabilité quand l’animal disparaît
- Pierre Guillery

- 1 sept.
- 1 min de lecture
Réfléchir au deuil animalier n°4

Quand un animal meurt, souvent vous ressentez plus que la tristesse : il y a ce poids appelé culpabilité. “Ai-je fait assez ? Ai-je pris la bonne décision ?” Ces pensées peuvent vous torturer. Et c’est normal.
Vous aviez la responsabilité quotidienne de lui apporter soin, nourriture, confort, et parfois la décision la plus difficile : celle de son départ. Ce lien fort rend la perte encore plus lourde.
Nous sommes rarement parfaits, malgré notre amour. Cette culpabilité est aussi la preuve de cet amour profond. Vous avez tout donné. Cela ne vous rend pas fautif·ve.
En parler avec d’autres, écouter leurs expériences, ça permet de dénouer cette culpabilité. Pardonnez-vous, car ce simple fait : vous avez aimés, vous avez fait plus que ce que vous pensez.
Adaptés de Good Grief (2022) par E.B. Bartels, dans lequel l’auteure explore le deuil animalier, souvent minimisé, à travers des témoignages et recherches. Elizabeth souligne l’importance de reconnaître cette douleur, offrant compassion et conseils pour surmonter la perte d’un compagnon non humain.

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